6 septembre 1873 : le maire de Châteaubriant autorise les administrateurs du Comice à tirer un feu d’artifice sur les Terrasses. « Vous voudrez bien prendre toutes les précautions nécessaires pour qu’il n’arrive aucun accident, vous faisant observer que vous seriez seuls responsables des dommages causés »
Articles les plus récents
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Du 1er septembre au 20 décembre 1873
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Le livre des 9000 déportés de France à MITTELBAU-DORA
MITTELBAU-DORA était un camp de concentration et d’extermination par le travail, un des camps les plus meurtriers du IIIe Reich. D’août 1943 à avril 1945, près de 9 000 déportés de France ont creusé des tunnels pour installer un site industriel et assembler les pièces de fusées V2 censées anéantir l’Angleterre depuis le Pas-de-Calais. Dora est l’usine-camp souterraine où la machine du guerre la plus secrète nazie exploite et tourne à plein.
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Du 1er mai 1873 au 31 août 1873
1er mai 1873 : Lettre du maire de Châteaubriant à monsieur le colonel de Rozières à Châteaubriant « La lettre que vous m’avez écrite le 26 avril dernier, et dans laquelle vous vous disiez disposé à payer de vos deniers la somme de 300 frs réclamée pour un mandat délivré par la mairie le 2 novembre 1865 au nom de M. le Caissier, me faisait un devoir de m’assurer que vous aviez réellement touché le montant de ce t de ce mandat.
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Du 1 janvier 1873 au 30 avril 1873
5 janvier 1873, séance extraordinaire du Conseil Municipal de Châteaubriant sous la présidence de M. Béchu du Moulin Roul. Le secrétaire est M. Picot de Plédran. Le Maire expose qu’une contrainte est délivrée contre les familles Gatineau et Leseur par l’école normale de Savenay pour paiement du terme d’octobre de la pension. « Gatineau et Leseur appartiennent à des familles d’ouvriers sans aisance et dans l’impossibilité de payer ».
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Du 1er octobre au 31 décembre 1872
2 octobre 1872 : le maire écrit une nouvelle fois en faveur du sieur Pétrel Omer, lettre adressée au général commandant la 15e division militaire à Nantes, en y joignant un certificat « en faveur de la jeune fille que Pétrel recherche en mariage ». Demande d’autorisation de mariage « qui permettra à ce jeune homme de s’établir immédiatement »
De pavés et de sable
3 octobre 1872 – Rue des Vieilles Halles (ou place de la Pompe), le dossier d’adjudication date du 6 juillet 1871.
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Du 1er juillet au 30 septembre 1872
L’ancienne église sera démolie
Les deux Ponts
Malheur et aumône
Projet pour l’église -
Du 1er mai au 30 juin 1872
26 mai 1872, au Conseil Municipal, la commission nommé le 19 mai rend son rapport et fait de multiples propositions concernant l’école, l’église et le chemin de Béré à Paluel.
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Du 1er janvier au 30 avril 1872
Monsieur le comte de Saint-Luc est un grand propriétaire foncier à Châteaubriant. Il offre de donner à la ville tous les terrains nécessaires pour la construction d’une avenue de 960 m de long sur 12 m de large y compris les fossés, qui partirait du chemin n°34 et aboutirait à la grande route de Nantes.
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Du 6 Août 1871 au 31 décembre 1871
6 Août 1871 (suite) : le Conseil municipal de Châteaubriant, après avoir entendu le rapport de sa commission, au sujet de l’éclairage de la ville, au gaz, décide d’accepter cette installation.
Il souhaite une clause spéciale : étant donné le nombre d’heures pendant lesquelles devront être allumés chaque année les becs de gaz affectés au service public, l’administration municipale souhaite rester maîtresse de répartir la durée de l’éclairage pour chacun des jours de l’année, dans le but d’obtenir une plus longue durée de cet éclairage pendant la saison d’hiver.
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Du 1er juin au 6 août 1871
Juin 1871 : à Paris la répression est atroce. On fusille tous ceux qui portent une vareuse, un pantalon ou même une paire de chaussures de la Garde Nationale. On fusille des femmes accusées d’être des pétroleuses parce qu’on trouve sur elles des allumettes ou un rat-de-cave (c’est-à-dire une mèche éclairante enroulée sur elle-même). On fusille tous ceux qui semblent Italiens, Polonais, Hollandais ou Allemands. On fusille des blessés dans les hôpitaux, on fusille des mères en train d’allaiter leur enfant, ou des femmes qui bavardent sur le pas de la porte, ou la porteuse de pain qui passe au même moment. On fusille pour fusiller. En une seule nuit, on réussit à tuer 1900 personnes dans la cour de la Roquette. Comment expliquer l’attitude du Général de Galliffet, regardant passer une colonne de prisonniers et faisant fusiller immédiatement tous ceux qui avaient les cheveux gris « parce qu’ils avaient vu juin 48 » ?
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